UN ENFANT MASSACRE A DOUAI AU DOMICILE MATERNEL

Publié le par JUSTICE PARITE PARENTALE Normandie

L’aliénation judiciaire en marche triomphante


Non loin d’Outreau, un enfant a été martyrisé à mort par le copain de sa mère.

Celle-ci a laissé faire, cachant aux médecins qu’elle consultait que les plaies que présentait son fils cadet étaient infligées chez elle par son tout nouveau copain.

Aux assises, l’appareil judiciaire juge deux médecins généralistes soupçonnés de non assistance à enfant en danger, la mère et son copain.

On convoque même le frère aîné du petit martyre, flanqué lui-même d’un avocat.

On explore le passé du copain meurtrier : drogué, déjà marié, père de plusieurs enfants, fils d’alcoolique.

Mais rien sur le père des deux enfants les plus concernés, celui qui est mort par la faute d’un couple passionnel, et celui qui déclare ne plus vouloir voir sa mère.

Rien sur le passé de ces enfants, sur leur véritable histoire familiale.

Le procureur se déchaîne contre un médecin qui a été contacté par la presse, mais ne dit rien sur cette même presse qui oublie qu’un enfant tué avait aussi un père.

Personne, ni la presse, ni le procureur, ni les avocats, ni les juges, ni les avocats, ni les experts, n’évoquent l’existence, le sort humain et le sort judiciaire d’un père qui a pourtant fait deux enfants avec une même femme.

Personne ne parle de " droit de garde " concédé à cette femme coupable, infanticide au moins passive, par la même justice que celle qui s’indigne de la médiocrité diagnostique de deux médecins généralistes. On sait que l’un d’eux a cru la mère quand elle plaidait que son fils s’automutilait parce qu’il ne supportait pas la séparation parentale.

Mais à part le témoignage de ce médecin pressenti coupable, rien ne vient rappeler qu’un père a été remplacé par un tueur. Pourtant ce témoignage est fondamental : cet enfant parlait-il trop de son père à un amant jaloux, dont les pulsions étaient débridées par un échec antérieur, et à une mère qui haïssait le père de ses enfants ?

Douai et Outreau ont ceci en commun que l’appareil judiciaire s’y révèle visiblement malhonnête, révisionniste, négationniste.

Douai et Outreau diffèrent en ceci qu’à Douai, un enfant a bel et bien été tué avec la complicité d’une mère ayant bénéficié de la garde judiciaire de ses enfants, et qu’à Outreau, une femme connue par la " justice " pour sa malhonnêteté a dénoncé de faux abus sexuels contre enfants, ce qui a été exploité par l’appareil à procès.

A Douai, un enfant massacré impose un procès où son père est assassiné symboliquement par l’appareil judiciaire et les relais médiatiques. Une bonne partie des efforts judiciaires consistent à étouffer l’existence de cet homme pourtant fondamental dans la destinée de chacun des membres de cette famille.

Dès lors comment croire ne serait-ce qu’un peu en l’appareil judiciaire, et comment croire encore en la presse ?

Docteur Pascal Dazin, Président de " l’Alphabet du Respect des Enfants " 30 octobre 2008

Publié dans Collectif Justice

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